Les pèlerins nationaux seront indemnisés en cas de retard d'hébergement

Les pèlerins nationaux seront indemnisés en cas de retard d’hébergement

Les pèlerins nationaux recevront une compensation en cas de problèmes liés à l’hébergement.

Récemment, le ministère du Hajj et de la Omra a annoncé quelques conditions pour assurer la sécurité et le confort des pèlerins.

Le ministère a déclaré que si les prestataires de services du Hajj ne parviennent pas à fournir un hébergement approprié sur les lieux saints, les pèlerins recevront une compensation. De plus, si le retard est supérieur à deux heures, les pèlerins recevront une compensation de 10 % de la valeur de leur forfait.

Les pèlerins ont le droit de déposer une plainte auprès des autorités compétentes dans de telles circonstances. Si l’infraction se reproduit et qu’elle est constatée une deuxième fois par les autorités, le pourcentage d’indemnisation peut être augmenté jusqu’à un maximum de 15 % de la valeur du colis.

Si le prestataire de services ne parvient pas à fournir l’hébergement, le ministère assurera le logement sous sa supervision, en coordination avec le Conseil de coordination des installations pour les pèlerins nationaux, toutes les dépenses étant à la charge du prestataire de services du Hajj.

Si l’hébergement proposé ne respecte pas les termes du contrat, le prestataire doit remédier à la situation dans un délai de deux heures.

Les pèlerins seront indemnisés en fonction du retard, avec une indemnisation fixée à 5% de la valeur du forfait. L’indemnisation s’étend également aux retards dans le service des tentes sur les Lieux saints, les pèlerins attendant plus de deux heures pouvant prétendre à une compensation sur la valeur de leur forfait.

Dans le cas où un pèlerin ne bénéficie pas d’un logement à son arrivée à l’installation de tente, il recevra une compensation de 2% de la valeur du forfait, pas moins de 300 SR.

Si le prestataire de services ne fournit pas de logement, le ministère interviendra pour fournir un logement, les dépenses étant couvertes par le prestataire de services.

Les pèlerins confrontés à un hébergement contraire aux termes du contrat peuvent déposer une plainte et, si celle-ci est validée, recevront une compensation de 10 % de la valeur du forfait, au moins 1 500 SR. Le ministère souligne que de telles violations doivent être corrigées dans un délai de deux heures.